Un
conte se transmet.
Il faut qu’une flamme embrase des milliers et des milliers de conscience. L’impact d’une histoire sur certaines personnes ouvertes au monde peut faire circuler beaucoup plus que des simples messages, en effet, il s’agit là d’états d’esprits qui convergent des uns aux autres.
Il faut qu’une flamme embrase des milliers et des milliers de conscience. L’impact d’une histoire sur certaines personnes ouvertes au monde peut faire circuler beaucoup plus que des simples messages, en effet, il s’agit là d’états d’esprits qui convergent des uns aux autres.
Ecrire un récit est complexe. Il faut savoir y mettre les formes tout en ne sombrant pas dans un fond un peu trop fade. De la même sorte, toute création doit se targuer d’allier la quantitatif au qualitatif.
Pour ce faire, l’authenticité prime. C’est avec une mentalité telle qu’elle vous l’a été présentée que j’ai pensé mon projet. J'ai longtemps exercé une activité qui se démultipliait en plusieurs professions : ébéniste d'art et antiquaire. C'était des travaux d'orfèvre auxquels je dévouais corps et âme.
Chiner dans des marchés aux puces me demanda un œil avisé et un certain talent pour la négociation, tandis qu’à l’atelier… là, ce fut une toute autre paire de manches, réellement.
Treize années passèrent depuis mes débuts dans le commerce et l’artisanat. Je ne les vus pas passer, passionné par mon attribution. J’ai toujours adoré ce que je faisais et c’est un fait qui, je le pense, a guidé mes pas vers plus de renouveau. J'étais ce perfectionniste qui ne voyait pas de limites à sa marge de progression. D'autant plus que chaque caresse adressée aux veinures du bois me fit voyager dans le temps. C’était de la magie. Je fus ensorcelé.
Quelques années après mes premiers pas, j'obtins un atelier. Le feu de mon adoration consuma bien vite les tracas du patronat. Au sein de mon enseigne, je pus mettre à profit ma hargne de mieux faire et mon goût de l'idéal. N'importe quel meuble, quel que soit son état, repartait flambant neuf. Je ne faisais pas que restaurer les meubles qui m'étaient apporté, non, j'allais bien au delà de cet aspect de mon métier.
L'inspiration d'un maître ébéniste.
L'inspiration d'un maître ébéniste.
J'eus la force de créer. En m'inspirant de grands maîtres de naguère parfois ou tout simplement, en me laissant porter par l'imagination débordante d'un artisan qui était la mienne, je fabriquais du mobilier sur mesure. Rien n'était plus beau que de voir une inspiration portée à maturation.
Ma fougue ô combien insoutenable força bientôt mon influence à s’agrandir. A mi-chemin entre l'architecte d'intérieur et le marqueteur, j'aménageai l'intérieur de certaines pièces pour les particuliers, en me servant de boiseries anciennes. Il s'agissait d'un défi pour moi, car je n'étais destiné à ça, toutefois, je m'y fis très vite.
Mes pérégrinations m'amenèrent à voyager à travers toute la France, voire aux frontières de certains autres pays francophones, pour faire connaitre mon entrain, mon envie et ma faculté. C'est par le biais de salon d'antiquité que je pris mon envol pour d'autres horizons. Je voulais qu'on me rencontre et qu'on contemple, d'un œil fasciné, que l'artisanat était bien personnifié, que ce soit en regardant mes oeuvre ou en me parlant.
Ma fougue ô combien insoutenable força bientôt mon influence à s’agrandir. A mi-chemin entre l'architecte d'intérieur et le marqueteur, j'aménageai l'intérieur de certaines pièces pour les particuliers, en me servant de boiseries anciennes. Il s'agissait d'un défi pour moi, car je n'étais destiné à ça, toutefois, je m'y fis très vite.
Mes pérégrinations m'amenèrent à voyager à travers toute la France, voire aux frontières de certains autres pays francophones, pour faire connaitre mon entrain, mon envie et ma faculté. C'est par le biais de salon d'antiquité que je pris mon envol pour d'autres horizons. Je voulais qu'on me rencontre et qu'on contemple, d'un œil fasciné, que l'artisanat était bien personnifié, que ce soit en regardant mes oeuvre ou en me parlant.
J’exerçais ce magnifique métier depuis
25 ans.
Mon parcours est celui d’un
passionné, je suis passé par l’apprentissage et le compagnonnage.
J’ai rencontré des hommes
authentiques avec la même flamme qui les anime en tant que restaurateur de
meubles anciens.
Ce métier m’a aussi permis de
développé un gout prononcé pour la découverte de l’objet et meuble
unique : CHINER qui est ma deuxième passion et vous la
transmettre.
J’accueillais aussi des étudiants en
formation CAP d’ébénisterie et Bac professionnel, je leur transmettais
mon savoir faire et mes secrets d’atelier et je partageais avec plaisir
la réussite de ces jeunes talents.
Je voudrais recommencer à zéro, faire
autrement, créer une école de formation en ébénisterie d'art et à la découverte de
meubles et d'objets anciens.
Vous transmettre mon savoir-faire
de Maître Artisan, afin que vous puissiez restaurer vous-même, avoir la
sensation de continuer l’histoire qui a été laissé en abandon, avoir la
sensation de soigner un meuble malade avec respect, lui redonner vie pour que
son histoire continue d’être là et que vous participiez à sa renaissance.
Donc, actuellement je souhaite trouver
le lieu d’accueil et le financement pour créer cette entreprise :
Un
atelier de formation
Un
show rom pour les œuvres réalisé
Le tout dans un esprit convivial, chaleureux et ensemble !
Je suis ouvert à toute proposition.
Veuillez laisser vos commentaires
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire